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Bagnols-sur-Cèze

A 30 minutes de Provence Côté Rhône. Capitale du Gard Rhodanien, Bagnols est située au cœur d’une nature bénie, offrant en abondance garrigues, oliviers, arbres fruitiers qui voisinent avec des vignobles de la Côte du Rhône comme le chusclan. 
La ville, au plan typiquement provençal, est entourée d’un boulevard circulaire bordé de platanes. Elle garde des traces de l’antiquité tardive jusqu’à l’époque moderne. Elle a connu une forte croissance démographique à la fin des années 50 avec le centre nucléaire de Marcoule, l’un des premiers en France. 

A voir, à faire à Bagnols-sur-Cèze

Saint-Paul-Trois-Châteaux

A 15 minutes de Provence Côté Rhône.
Ne cherchez pas à énumérer les trois châteaux, il n’y en a jamais eu ! Le nom de la ville est une évolution de « Saint-Paul-en-Tricastin », lui-même issu du nom du peuple gaulois qui habitait alors ce coin de Provence, les Tricastini.
Depuis ce temps, les civilisations se sont succédé, laissant dans le vieux centre des trésors d’architecture : palais épiscopal, cathédrale, tour juive, hôtels particuliers…

A voir, à faire à Saint-Paul-Trois-Châteaux

La Garde-Adhémar

A 20 minutes de Provence Côté Rhône.
C’est l’un des « plus beaux villages de France », perché sur une colline. Il offre une vue magnifique sur la vallée du Rhône et les monts du Vivarais.
Entièrement piétonnier, le vieux village a gardé tous ses atours de calcaire blanc : remparts, vestiges du château, maisons anciennes…
Son église Saint-Michel, datant du XIIe siècle, est un joyau de l’art roman provençal.

A voir, à faire à La Garde Adhémar

Vaison-la-Romaine

A 40 minutes de Provence Côté Rhône.
Vaison vous offre deux bonnes raisons de la visiter, de part et d’autre de la rivière Ouvèze : la Haute-ville et la ville basse, séparées par le fameux pont romain.
Deux rives, deux époques
Rive droite, la ville basse est une ville moderne fortement imprégnée de son passé antique, marquée par la Villasse et Puymin, sites antiques majeurs de la Provence. Sur 15 hectares, on y trouve des restes de boutiques, de villas, d’un établissement thermal. Au fond, le théâtre antique accueille toujours de nombreuses manifestations culturelles.
Rive gauche, l’ambiance est médiévale. On la découvre au bout d’une petite ascension, une fois passée sa double muraille de fortifications. Ses maisons perchées sur le bord de la falaise sont dominées par la silhouette massive du château des Comtes de Toulouse.

A voir, à faire à Vaison-la-Romaine

Avignon

A 40 minutes de Provence Côté Rhône.
Vous voici sans conteste dans l’une des capitales culturelles de la Provence. Capitale du théâtre d’abord : un mois par an, tout ce qui compte dans le sixième art investit les rues de la ville pour la transformer en un vaste chaudron culturel.
Cité des Papes
Mais c’est toute l’année qu’Avignon constitue un haut lieu de culture. La ville est riche d’une histoire singulière, puisqu’au XIVe siècle, elle accueillit les papes en lieu et place de Rome. De cette période, elle conserve le très impressionnant Palais des Papes, perché sur le rocher des Doms.
Même après le départ des papes, la ville restera gouvernée depuis le Vatican jusqu’à la Révolution. Elle en gardera des richesses architecturales foisonnantes : église des Célestins, Petit Palais…

A voir, à faire à Avignon

Orange

A 30 minutes de Provence Côté Rhône.
Orange est la couleur de la couronne des Pays-Bas. C’est aussi le nom de cette ville de Provence. Ce n’est pas un hasard : aux XVIe et XVIIe siècles, la ville était aux mains de la famille Nassau, qui régnait aussi sur les Pays-Bas. Orange était alors une province étrangère enclavée entre la province papale et le royaume de France.
Un théâtre antique exceptionnel
Au-delà de cette parenthèse néerlandaise, la ville témoigne de plusieurs périodes de prospérité à travers l’histoire. L’époque romaine a notamment laissé l’un des théâtres antiques les mieux conservés de tout l’ancien empire, classé à l’Unesco. Il a notamment conservé son mur de scène qui lui donne une acoustique exceptionnelle. Ceci lui permet d’accueillir les prestigieuses Chorégies d’Orange qui mettent à l’affiche concerts classiques et opéras.

A voir, à faire à Orange

Uzès

A une heure de Provence Côté Rhône.
« J’aimais passionnément la campagne aux environs d’Uzès, la vallée de la Fontaine d’Eure et, par-dessus tout, la garrigue », écrivait André Gide. La ville est nichée aux confins de la Provence, de la Camargue et des Cévennes. Sa place aux Herbes a servi de décor de cinéma à de nombreux films, dont Cyrano de Bergerac.
Place forte protestante
La ville, labellisée Ville d’Art et d’Histoire, était jadis la capitale de ce qu’on a appelé « premier duché de France », ce qui lui donnait une prééminence dans l’aristocratie française.
Place forte protestante, la ville a souffert des guerres de religion. Reconstruite au XVIIe siècle, elle connaît alors une période de prospérité qui marquera son architecture. De l’époque médiévale subsiste la tour Fenestrelle. Ce clocher roman rappelant la tour de Pise sert parfois d’emblème à la ville.
La soie, la céramique et la culture de la réglisse sont les activités économiques qui ont marqué l’identité de la ville.

A voir, à faire à Uzès

Mondragon

Situé sur la Nationale 7, le village tire son nom d’une légende selon laquelle un dragon hantait le Rhône et les collines surplombant le bourg. Face à la mairie, une statue colorée représente la bête ailée aux dents acérées.  Le bourg médiéval offre un patrimoine varié. Les vestiges de ses remparts sont toujours visibles. Le château des Dragonnet (XIIe siècle), partiellement ruiné durant les guerres de religion qui ont sévi en Provence, domine le village de sa silhouette découpée.
Vins et nature provençale
A l’est du village, le massif d’Uchaux alterne garrigue, lavande, vigne et sous-bois. Sa faune et sa flore, aujourd’hui encore préservées, ont servi au XIXe siècle de terrain d’expérimentation au célèbre entomologiste provençal Jean-Henri Fabre.
C’est aussi dans ces collines qu’une vingtaine de vignerons produisent les vins typiques et racés de l’appellation Côtes-du-Rhône-Villages Massif-d’Uchaux. Tous s’accordent à produire dans le respect du terroir et de la nature.

A voir, à faire à Mondragon.

Lapalud

Le village, dont le nom signifie « marais », est situé sur d’anciens marécages asséchés. On y a d’abord cultivé la garance, une plante qui servait à teindre les vêtements en rouge. Au XIXe siècle, la teinture naturelle étant remplacée par d’autres procédés, on y introduisit la culture du sorgho. Cette plante donne une paille particulièrement souple qui permet de fabriquer des balais.
Etals en bord de route
Dans les années 50, le trafic croissant des estivants sur la nationale 7 a fait la réputation du village comme « la capitale des balais ». Au bord de la route, une trentaine d’étals bordaient la route pour vendre des balais, mais aussi des cabas, des corbeilles, des chapeaux…  
Aujourd’hui, seule une entreprise perpétue encore la tradition de la fabrication de balais.

A voir, à faire à Lapalud.

Lamotte-du-Rhône

Lamotte est un tout petit village posé à l’intersection de trois départements provençaux : Gard, Vaucluse et Ardèche. Le village doit son nom à une motte castrale, château médiéval aujourd’hui disparu sous les limons du Rhône. Le Pont-Saint-Esprit, magnifique pont sur le Rhône du XIIIe siècle, débouche sur la commune. C’est le plus vieux de tous les ponts sur le Rhône. Il marque un trait d’union entre la Provence et le Languedoc.

A voir, à faire à Lamotte-du-Rhône.